Hector Gachan

Care 2 Share

Sortie le 10 juin 2022

Délicieuse Musique

Oscillant depuis son plus jeune âge entre différents pays, Hector Gachan est à l’image de sa musique : intemporel et sans frontières.

 

A 30 ans, Hector Gachan sort un deuxième album convaincant. Désormais basé à Edimbourg, le jeune homme a également vécu à Sarajevo en Bosnie-Herzégovine et à Sydney en Australie.

 

Dans le prolongement des retours positifs de public et des médias sur son premier album Untitled ’91 (2017) qui a généré plus de 10 millions de streams et reçu le soutien de FBI Radio, KCRW, France Inter, Rolling Stone, Noisey et bien d’autres, Hector a passé les quatre dernières années à perfectionner son art et à écrire de nouveaux morceaux.

 

Toujours dans l’intimité de son home studio, les 11 chansons qui composent ‘Care 2 Share’ sont toutes imprégnées de douces mélodies, de questionnements sur le thème de l’identité et de la multiculturalité.

 

Musicalement teinté de la funkyness et du groove serré de Quincy Jones/Michael Jackson, des nuances romantiques de Jorge Ben et de l’indie lo-fi de LA Priest, Hector Gachan parvient à créer des morceaux pop et profonds depuis les confins de son humble demeure. Tout au long de l’album, il s’efforce de composer une musique riche et diverse, trouvant sa zone de confort lorsqu’il est capable de composer quelque chose d’à la fois triste et heureux.

 

Concernant les textes, l’héritage de son éducation entre l’Europe de l’Est et l’Australie se ressent dans l’intimité qu’il parvient à créer avec ses auditeurs.

Hector y décrit sa lutte pour se sentir “chez lui”, que ce soit à l’Est ou à l’Ouest. Il chante son dédain pour le nationalisme et la ségrégation ethnique.

 

L’éducation qu’il a reçue à Sarajevo, en Bosnie, a profondément façonné la personne qu’il est aujourd’hui. L’histoire mouvementée, l’influence culturelle de l’islam, du christianisme, du judaïsme, du communisme et du capitalisme se matérialisant dans une ville qui se reconstruisait dans les années 1990 ont laissé des traces.

 

Résolument DIY, il met inévitablement en perspective notre vie au 21e siècle. En tant que « no land’s man, in no man’s land », ses textes décalés et parfois pince-sans-rire rappellent ceux de Paul McCartney et Isaac Hayes. Deux autres idoles dont le jeune homme se réclame.

 

Son travail d’auteur-compositeur ne cesse d’évoluer et de mûrir. Avec ce nouvel album, c’est l’occasion de progresser et d’afficher sa progression, l’écriture de nouvelles chansons est une façon pour lui de réfléchir et de mettre sa vie en perspective. En tant que fan du mentor de la Beat Generation Alan Watts, il a distillé beaucoup de ses lectures dans les paroles de l’album.

 

Avec « Care 2 Share », Hector réfléchit au fait d’avoir 30 ans dans un monde qui ne semble pas ralentir, et dépeint la difficulté de savoir où nous sommes et où nous allons.

 

Hector Gachan : « Dans l’ensemble, je veux que ma musique ait une influence positive sur les autres. Si elle peut servir de bande-son à la vie de quelqu’un d’autre, en particulier quelqu’un qui découvre son propre potentiel ou son courage, alors c’est génial. 

Je crois sincèrement que faire preuve de courage et affronter la peur, c’est ce qui m’inspire. J’essaie de faire de mon mieux pour toujours relever ce défi, où que je sois dans la vie, cela me permet de garder les pieds sur terre. »